Que ce soit vous lectrice ou participante à nos événements, une amie, une soeur, une amie d’amie, une collègue, vous nous avez toutes ému par votre témoignage et par votre chemin parfois si long et douloureux pour concevoir un bébé. Vous avez été plus d’une soixantaine de futures et jeunes mamans à partager votre ressenti et vos besoins, que nous partageons ici pour que ceux-ci permettent à d’autres femmes qui rencontrent les mêmes doutes, les mêmes douleurs de se sentir moins seules. Pour qu’aussi nous puissions un jour vous organiser une rencontre, encore plus intimiste et anonyme que notre Mum-to-be Party, réunissant des femmes, des hommes aussi, des experts et des couples qui témoignent de leur expérience.
En attendant, nous proposons aux couples avec désir d’enfant de pouvoir tester une technologie tout à fait innovante qui permet via le port d’un bracelet connecté de mieux connaître son cycle. La prise en compte de plusieurs paramètres physiologiques permet d’identifier une fenêtre de fertilité plus large et précise pour maximiser les chances de concevoir. RDV en fin d’article pour en savoir plus !
Cette étude a été menée auprès d’une soixantaine de femmes, qui se situaient à différents moments de leur vie : 22% étaient désireuses de tomber enceinte, 48% étaient tombé enceintes et 30% étaient devenues maman, témoignant alors de leur expérience. Intéressant : le désir d’enfant n’est pas uniquement le fait de femmes plus âgées. 63% des réponses venaient de femmes entre 30 et 34 ans, et près de 30% de moins de 30 ans. Le stress de ne pas tomber enceinte gagne donc les plus jeunes générations.
Un tabou. Malgré un besoin exprimé de partage, il reste difficile de parler de son désir d’enfant pour plus de 55% d’entre elles. Parfois même la discussion au sein du couple peut être difficile, la douleur d’être au contact d’amies enceintes, de gérer les absences vis-à-vis de son employeur. Seuls quelques très proches trouvent les mots justes, et ne mettent pas la pression, ou alors cessent de poser des questions dès lors que le couple a partagé sa situation.
Mon père est plutôt carriériste, ma mère impatiente alors que j’avais des difficultés. Mes amis ne se sentaient pas très concernés.
Pour éviter d’être scrutée à chaque fois j’évite d’aborder le sujet car il n’y a rien de pire que les questions régulières de l’entourage « alors c’est pour quand ce 2ème ? ».
Après être tombée enceinte naturellement et avoir fait une fausse-couche précoce, j’en ai parlé à deux personnes qui ont ébruité l’information. Je n’ai donc plus souhaité en parler. Quand nous sommes passés par la case PMA nous avons choisi de ne pas en parler à nos familles car nous voulions avoir le droit, nous aussi, d’annoncer une possible grossesse comme tout le monde.
Au départ, on évitait d’en parler. Lorsque c’est devenu trop lourd à porter, on en a parlé sans gêne et les questions se sont taries. Les amis les plus proches nous soutiennent, les autres ne nous en parlent plus. Mais au moins on ne se cache plus, on est au clair avec notre désir d’enfant qui n’est pas assouvi.
L’attente reste l’épreuve la plus douloureuse pour la très large majorité d’entre elles, rythmée par les résultats, les fausses couches ou échecs des traitements. Suivie de la fatigue liée au traitement médicamenteux et toute l’organisation contraignante qui en découle. Une grande tristesse et une solitude peuvent gagner la vie de ces femmes, et plus largement des couples tiraillés entre angoisse et espoir.
Le parcours de PMA est éprouvant psychologiquement et physiquement. Toute notre vie a tourné autour des examens et traitements pendant plus de 6 ans. Il a fallu gérer les fausses couches et les échecs en même temps que les obligations professionnelles, ce qui est parfois impossible.
Beaucoup de choses sont difficiles : l’attente, la multiplicité des examens, les échecs, savoir se relever, coupler cette épreuve à une activité professionnelle, l’incompréhension autour de nous, le fait de se sentir seule parfois, les traitements qui modifient l’humeur et qui ont un impact sur la vie quotidienne. Encore aujourd’hui cela semble être un tabou alors que l’on ne devrait pas se cacher et avoir honte de vivre cela…
On se sent très vite seule quand on ne peut pas en parler à ses proches. A partir du moment où l’on souhaite tomber enceinte, tout est long car on est tout le temps dans l’attente…Et le conjoint n’a pas forcément envie d’en parler souvent donc pour ne pas lui mettre la pression non plus, on a besoin d’échanger avec d’autres femmes.
Seules 25% des femmes ont déclaré avoir eu recours à une activité bien-être (de type acupuncture, massage, sophrologie…) pour booster leur fertilité. Pourtant, ces dernières restent convaincues du bienfait de cet accompagnement autre que médical, ne serait-ce pour gérer plus facilement les difficultés du parcours.
J’ai fait de l’acupuncture, pris de l’homéopathie, changé momentanément de régime alimentaire, je suis en Angleterre et là-bas beaucoup de médecines douces sont proposées pour la fertilité. Le mois suivant ces exams je suis tombée enceinte.
Comprendre qu’il faut être bien dans sa tête pour tomber enceinte… et que des activités non médicalisées, comme la sophrologie, peuvent aussi aider ! J’ai consulté un psy et un sophrologue. Et bing, le mois où je commence ces thérapies, je tombe enceinte !
Lors de mon parcours en PMA j’ai eu recours à l’ostéopathie, j’ai eu la chance d’être très bien orientée par ma gynéco. Je reste convaincue que malgré mes problèmes hormonaux la rencontre avec mon ostéopathe a été déterminante. Aujourd’hui je le conseille à toutes personnes qui souhaitent avoir un enfant. Cela prépare le corps.
Le plus souvent c’est le manque d’informations mais aussi de temps qui explique pourquoi 75% des femmes ne se sont pas tournées vers ce type d’accompagnement. En effet, le parcours PMA peut être déjà si complexe à gérer du point de vue organisationnel. Certaines femmes aussi ne souhaitent pas perdre plus de temps et déclarent opter pour la solution la plus « rapide ».
Je n’avais pas connaissance de ce genre d’activité. La seule chose que mon équipe médicale m’a conseillé de prendre était de l’acide folique en amont de ma grossesse. Et de bien sûr « ne pas y penser »….Ayant eu une grossesse à risque, aucun personnel médical ni social ne m’a jamais parlé d’activité particulière pour booster ma fécondité.
Peut-être que ça aide à être plus zen mais la solution médicale est je pense tout de même la meilleure solution. Une combinaison des deux m’aurait peut être aidé à surmonter les différentes étapes de la FIV.
Je ne disposais d’aucune information sur les activités que j’aurais pu effectuer dans ce cadre. Des recommandations de ma sage-femme ou de mon gyneco auraient été un plus, des retours d’expérience de maman également.
100% des personnes interrogées seraient donc favorables à une rencontre où l’on puisse être conseillée, rencontrer des personnes dans la même situation et des experts pour un dialogue sans tabou et porteur d’espoir. Chacune des participantes à cette étude nous ont confié les critères de réussite d’une rencontre. Nous espérons pouvoir mettre ceci sur pied prochainement, grâce au soutien d’experts et de marques qui seront dans la même démarche de partage, d’écoute, de bienveillance et d’ouverture aussi. En attendant de vous donner des nouvelles à ce sujet, nous souhaitions partager avec vous une actualité qui pourrait bien aider des couples dans leurs essais de conception.
Fondée en 2014 en Suisse par les leaders de la technologie portable, de la santé des femmes et de la data science, Ava suit le cycle de la femme de manière fondamentalement différente des autres méthodes existantes. Ce bracelet repère et analyse les subtiles variations du pouls, de la fréquence respiratoire, de la qualité du sommeil, du mouvement, de la variabilité du rythme cardiaque, de la température de la peau, de la perte de chaleur, de la perfusion et de la bio-impédance. Grâce à ces différents paramètres, Ava détecte la période fertile de la femme en temps réel pendant son cycle avec une précision de 89,9%. La vraie révolution de ce bracelet réside dans l’identification d’un plus grand nombre de jours fertiles (5,3 jours en moyenne) et plus tôt dans le cycle que toute autre méthode disponible sur le marché.
Règles irrégulières, période d’ovulation incertaine…le port de ce bracelet permet avant tout à la femme d’être rassurée sur son cycle et son ovulation de manière précise, sans la contrainte d’une prise de température ou de test urinaire. Son utilisation est en effet très simple : le bracelet se porte la nuit en dormant, et se synchronise avec l’application mobile Ava le matin.
Après un lancement réussi au Royaume-Uni, en Allemagne et aux Etats-Unis, Ava est désormais disponible à la vente et à la livraison en France sur Avawomen.com pour 299€, l’application Ava Women est téléchargeable sur App Store ou Googleplay Store. Pour vous permettre de tester cette technologie à moindre frais, profitez du code promotionnel MTBP25 qui vous permet de bénéficier de 25€ de réduction Avawomen.com
VOTRE AVIS SUR CE BRACELET
Nous avons donné l’opportunité à nos lectrices qui souhaitent tomber enceinte de recevoir gratuitement et de tester ce bracelet tout au long de cet été. Ce test leur a permis de les accompagner dans leur vie de femme et de couple, et de partager avec vous lectrices, tout en restant tout à fait anonyme (aucun nom / profession / ville dévoilés), l’expérience vécue avec cette méthode.
Retrouvez dans l’article-test les impressions de nos 4 testeuses, dont deux sont tombées enceintes à l’issue du test !
Bonjour,
J’ai postulé au test du bracelet et je n’ai pas eu de nouvelles.
Est-ce que les personnes choisies ont déjà été contactées?
Merci
Bonjour,
J’ai également postulé pour être maman testeuse et je n’ai pas eu de nouvelles.
Est-ce qu’on sait qui sont les heureuses gagnantes 😉 ?
Merci et belle journée 🙂