On ne va pas se mentir, la césarienne n’est pas forcément une partie de plaisir, surtout les jours qui suivent. Beaucoup de mères appréhendent l’aspect de leur ventre après la césarienne et se posent d’innombrables questions : “La cicatrice sera-t-elle visible? Est-ce que je vais avoir mal ?”. Si la douleur après une césarienne est inévitable, elle peut être gérée de façon médicamenteuse, par médecine douce et avec un bon mental. La première des choses est de comprendre que ces douleurs ne durent pas ! Alors prenez votre mal en patience et suivez quelques-uns de ces conseils…
Pour rappel, la douleur est toujours un ressenti personnel et doit être manifestée auprès du corps médical. Cela ne fait pas de vous une maman moins courageuse. Dans le cadre d’un accouchement par césarienne, la douleur peut être forte et ne pas uniquement résulter de la cicatrice de césarienne externe. Ne la laissez pas s’installer et souffrir en silence par peur de déranger. Lorsque vous ressentez une douleur post césarienne, que ce soit au niveau de la plaie ou des douleurs intérieures, parlez-en à un spécialiste.
Comprendre les douleurs post césarienne pour mieux les gérer
Pourquoi ça fait mal après une césarienne ?
Savoir pourquoi vous ressentez cette douleur intérieure si intense après votre césarienne, vous aidera psychologiquement à mieux la tolérer. C’est l’une des étapes essentielles de préparation à l’accouchement, que vous ayez une césarienne programmée ou d’urgence. Rien de pire que de ne pas savoir ! C’est important de pouvoir se préparer, tant mentalement que physiquement, pour ne pas se sentir seule et démunie. Trop souvent, le personnel des cliniques et des hôpitaux n’est pas formé à la césarienne (un gros souci en France… mais ne nous étalons pas sur le sujet).
La césarienne est une intervention chirurgicale, ne l’oublions pas, ce n’est pas bénin. Même si les gens autour de vous disent « oh ça va, vous n’êtes pas la première dans cet état-là, vous ne serez pas la dernière » (Entendu, véridique !). Est-ce qu’on dit la même chose à un accidenté qui sort du bloc opératoire ?! Grrrrr.
Concrètement, voici comment se déroule une césarienne (âmes sensibles, s’abstenir !). L’opération comporte plusieurs étapes :
L’incision de la peau
Avec un bistouri, le médecin entaille verticalement votre peau au niveau du haut du pubis. La cicatrice de césarienne pourra vous tirailler et picoter dans les semaines qui suivent la césarienne. Mais généralement, ce n’est pas la cicatrice qui est la plus douloureuse au début. Même si les soins apportés sont essentiels pour une bonne régénération des tissus.
L’écartement des muscles
Non, le praticien ne va pas directement couper en deux vos muscles abdominaux, mais il va les écarter avec ses doigts. Cependant, pour accéder à ce niveau, il doit inciser la membrane qui entoure les muscles : l’aponévrose. Cette paroi ne sera pas suturée ensuite, la cicatrisation se fait naturellement.
L’incision du péritoine
Il s’agit de la membrane qui entoure les viscères. C’est cette partie qui est la plus douloureuse, car lorsque le transit va re-fonctionner, il le fera sur une zone cicatricielle. Les douleurs sont semblables à de fortes contractions au début. Les privilégiées (du genre Rachida Dati, à l’époque de ses escarpins, deux jours après sa césarienne, gloups !), ont accès à une autre méthode : la césarienne extra-péritonéale. Elle consiste à contourner le péritoine, sans incision. Les douleurs postopératoires sont considérablement réduites ainsi que les risques d’infection. Cette méthode est très peu utilisée en France (scandale !) et réservée aux cliniques archi-privées et aux honoraires pharaoniques. Demandez tout de même à votre médecin si vous pourriez y avoir recours, vous gagnerez vraiment en confort.
L’ouverture de l’utérus
Dernier coup de bistouri qui consiste à atteindre enfin le bébé : c’est l’hystérotomie. L’utérus cicatriciel sera douloureux lors des tranchées, jusqu’à ce qu’il reprenne sa taille initiale. Il faudra compter au minimum deux semaines.

Pas toutes égales face à la douleur
Je me souviens avoir été très surprise par la violence des douleurs post césarienne. Je n’imaginais pas que ça puisse faire aussi mal, j’avais comme une sensation de feu au niveau de toute la partie abdominale. J’avais alors hurlé au personnel soignant : « vous vous rendez compte, on est au 21e siècle, c’est inhumain de souffrir comme ça ! Faites quelque chose ! ». Me soulager était devenu une urgence. Et bien entendu, plus je m’énervais, plus je me crispais, plus la douleur était vive, rendant le cercle infernal. Bon je vous rassure tout de suite les Mums…Toutes les femmes ne sont pas égales face à la douleur ! Aucune étude n’arrive à expliquer les différences d’appréciations sur cette fameuse échelle de la douleur. Moi, je disais 15 sur 10, histoire de bien leur faire comprendre, que je n’en pouvais plus (bon ok, je suis méditerranéenne, j’exagère toujours un peu aussi).
Certains médecins expliquent ces différences par le fait d’avoir un bon maintien musculaire avant la grossesse, ce qui limiterait les douleurs. D’autres avancent les différences dans l’intervention, selon si des nerfs ont été plus ou moins touchés… Bref, je ne saurai jamais pourquoi j’ai aussi mal réagi face à cette douleur, alors que Chris m’a toujours dit que pour elle c’était « tolérable ». Le lendemain, elle parvenait déjà à marcher. Moi, perso, j’ai mis trois semaines pour pouvoir marcher droite, sans serrer les dents.
Je ne dis pas ça pour vous faire peur, mais vraiment pour que vous sachiez que si ça vous arrive, vous n’êtes pas seule ! Non, ce n’est pas une douleur psychosomatique. Non, vous n’êtes pas une chochotte. Oui, vous avez mal. Même peut être très mal. Pour être quand même rassurée, n’hésitez pas à décrire vos douleurs aux infirmières. Après auscultation, elles évalueront s’il s’agit bien du processus normal de cicatrisation ou s’il y a des complications.
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Se lever après une césarienne : interdiction ou obligation ?
Alors qu’autrefois, il ne fallait surtout pas se lever après l’accouchement, aujourd’hui c’est tout le contraire. Cet interdit après césarienne n’en est plus un ! Tout le personnel va vous encourager à vous lever dès le lendemain de la naissance de votre bébé. Avec des techniques plus ou moins diplomates, c’est selon votre chance ! Oui, plus vous vous levez tôt, plus vous récupérez vite. C’est indéniable. Vous éviterez aussi les complications, du type phlébite. Vous pourrez vous occuper de votre enfant plus facilement et optimiser votre retour à la maison. Ça, c’est pour la théorie.
Moi, personnellement, je ne pouvais pas me lever. La douleur intérieure que je ressentais après la césarienne me coupait le souffle ! Je tremblais de partout et je pleurais, ce qui ne faisait qu’augmenter mes douleurs. J’étais devenue très vulnérable face aux infirmières qui me poussaient à marcher, sans prendre en compte ma souffrance. C’est alors que mon ostéopathe m’a donné le plus merveilleux des conseils :
Prends ton temps ! Si ce n’est pas aujourd’hui, ce sera demain. Ce n’est pas grave, tu y arriveras. N’écoute personne, ta chambre est ton espace vital. Ne laisse personne t’affaiblir.
Une révélation ! J’ai repris les rennes de mon esprit et de mon corps. Vous avez le droit de dire « non ! ». Vous faites ce que vous voulez, personne ne doit vous forcer. Alors de moi-même, j’ai aménagé des moments de marche. Quand je l’avais décidé et non quand l’infirmière me l’imposait. J’attendais que ma fille dorme tranquillement et ne plus avoir de visites. Sauf celle d’une amie qui venait en fin de journée pour me faire faire des tours de couloirs, tranquillement, à mon rythme !
Mon conseil : si vous ne parvenez pas à vous lever pour assister aux soins de votre bébé, ou pour aller dans la salle de bains ou aux toilettes, n’hésitez pas à demander un fauteuil roulant. Personne ne vous le proposera et pourtant, je trouve ça évident !
Prendre des anti-douleurs après une césarienne
Je me souviens avoir supplié l’infirmière de me soulager de ma douleur, qui me tétanisait. Et alors quand je l’ai vu revenir avec la petite pilule rose de spasfon, j’ai cru que j’allais l’étrangler. « Quoi ?! Mais il ne s’agit pas de douleurs de règles là Madame ! Je vous dis qu’on m’a coupé le ventre en deux et que j’ai les entrailles en feu, donnez-moi de la morphine, de l’opium, je ne sais pas ce que vous voulez mais pas ce ridicule spasfon ! ». Bon avec le recul, la pauvre petite dame, n’y était pour rien, et elle ne suivait que le protocole, je n’aurai pas dû m’en prendre à elle. Mais là encore, le vrai problème en France reste : l’information ! Si on m’avait expliqué les choses avant, pendant et après, j’aurais compris le processus et pris mon mal en patience.
Pour combler ce manque d’information autour de la césarienne, j’ai questionné le Dr. Joelle Bensimhon, gynécologue qui a participé à l’ouvrage « Mon bébé, mon utérus et Moi » de Kaz Cooke aux Éditions Leduc. Je lui ai demandé de m’éclairer sur la question de la douleur après une césarienne. Elle m’a expliqué ce qui se passait en moi après l’accouchement et la médication associée à chaque étape de la récupération.
Les premières 24 heures : une simple hydratation
Au sortir de l’opération, vous n’aurez pas mal du tout. C’est normal, vous aurez encore les effets de l’anesthésie locale qui se prolongent jusqu’à 24h. Inutile de vous réjouir trop vite, vous risquez (comme moi) de vite déchanter !
Vous aurez une perfusion qui n’a pas de fonction analgésique, c’est-à-dire de suppression de la douleur. Mais elle est mise en place pour l’hydratation. On vous posera également une sonde urinaire pendant l’intervention. Elle sera retirée dès le lendemain afin d’éviter tout risque d’infection (sauf contre-indications comme du sang dans les urines). Soyez attentive aux symptômes que vous pouvez ressentir. Par exemple, la fièvre doit vous alerter, car elle peut être due à une infection.
Reprise du transit : le Spasfon et le paracétamol
Dès le lendemain, les douleurs les plus vives se feront sentir. Le transit reprend ses fonctions après avoir été endormi lors de l’opération. La reprise est caractérisée par des spasmes et des gaz qui provoquent un inconfort intestinal et des douleurs.
C’est à ce moment-là que le Spasfon peut limiter les douleurs. On pourra aussi vous prescrire des antalgiques du type paracétamol pour diminuer les douleurs du ventre et du dos. La zone lombaire peut être très sensible, car c’est là qu’a été pratiquée la rachianesthésie (voire en plus la péridurale s’il y a eu un travail avant). Cette douleur peut durer jusqu’à plusieurs semaines si vous ne la traitez pas.
Douleurs insupportables : les dérivés morphiniques
Éventuellement, si vous n’allaitez pas, on peut vous prescrire des morphiniques (qui contiennent de la morphine). Très appréciable si vous devez vous remettre rapidement sur pied (les aînées à gérer, seule à la maternité…).
En cas de nausées dues à ces médicaments, demandez des antiémétiques pour mieux les supporter. Attention : les morphiniques peuvent entraîner des constipations… Ce qui peut être très douloureux après une césarienne.
La cicatrice : pansement puis hydratation
La cicatrice de césarienne fait généralement peur aux futures mamans. Mais ce n’est pas elle qui provoque le plus de douleurs. Comme la zone est encore endolorie, elle ne fera pas mal tout de suite. Chaque jour, une infirmière vous fera un nouveau pansement et vérifiera l’état des sutures. Vous n’aurez rien à faire à ce niveau-là, au début. Ensuite, des tiraillements peuvent vous gêner. Il est important de bien hydrater la peau une fois la cicatrisation terminée.
L’idée n’est pas de se shooter aux médicaments pour diminuer la douleur post césarienne. Mais les premiers jours, si vraiment vous ne pouvez pas faire autrement, alors n’hésitez pas à demander ce genre de traitement. Il en va aussi de votre santé mentale, et de votre disponibilité à vous occuper dans les meilleures conditions de votre enfant.
Soigner son alimentation pour limiter les douleurs après une césarienne
Selon M. Andreu, il est tout à fait possible d’adopter une alimentation anti-douleur post césarienne pour vous apaiser. Le premier jour, l’établissement vous imposera automatiquement un bouillon ou un plat très léger pour les intestins sensibles après l’opération. Passé ces 24 heures, à vous de prendre les choses en main. Voici les conseils de notre expert :
- Hydratez-vous. Buvez de l’eau pour diluer le système sanguin, ce qui provoque moins de contractions musculaires et élimine les toxines.
- Évitez toutes les céréales et les sucres lents, qui ralentissent le transit.
- Soyez vigilante à maintenir un bon équilibre acido-basique en évitant certaines associations alimentaires comme les céréales et les protéines. Par exemple : riz + poisson = mauvais. Quand on acidifie l’organisme (rien à voir avec le goût acide des aliments), les muscles se contractent et on développe une cristallisation au niveau des articulations (responsable de l’arthrose). Après une césarienne, vos muscles doivent être détendus pour mieux cicatriser !
Parce que l’alimentation n’est pas toujours suffisante et riche en nutriments, et qu’on n’a pas toujours le temps de soigner le contenu de son assiette en post-partum, D-LAB a imaginé avec Mum-to-be Party le Programme Post Césarienne s’adressant à toutes les mamans césarisées. Cette cure de compléments alimentaires à prendre sur 1 mois, idéalement 3 mois, se compose de 3 produits qui vont agir sur la cicatrisation, l’élasticité cutanée et l’hydratation de la peau pour limiter les tiraillements et les démangeaisons et enfin le confort digestif.
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Avoir recours à l’ostéopathie pour diminuer la douleur post césarienne
J’ai eu la chance d’avoir été traitée par un ostéopathe pendant et après ma grossesse. Je suis convaincue des bienfaits de cette pratique et pourtant, c’est une sceptique qui vous parle ! Après une césarienne, l’ostéopathie peut traiter tout le spectre des douleurs.
« Dès les premières heures après l’accouchement, l’ostéopathe peut intervenir pour aider la jeune maman dans son processus de rétablissement », prévient Dominique Blanc (Président de l’UFOF- Union Fédérale des Ostéopathe de France). « Déjà sur le traitement de la douleur au niveau du point d’injection dans le dos. Car il s’agit de piqûres qui traversent quand même les méninges. »
Puis 48 heures après, votre ostéopathe peut vous rendre visite à la clinique pour une consultation plus globale :
Les techniques très douces sont axées autour de la cicatrice et du bassin. D’abord sur le travail tissulaire et ainsi limiter les adhérences (les filaments de tissus conjonctifs qui rendent la cicatrice plus douloureuse et moins souple). On équilibre également la colonne vertébrale et le bassin pour limiter les zones de tension et faciliter la mise en place de tous les organes.
Ce travail préventif puis en profondeur, va aider le corps à mieux récupérer après la césarienne qui est un événement traumatisant pour les tissus et les organes. Par la suite, dans les jours, voire les semaines qui suivent l’intervention, l’approche est encore plus globale :
L’ostéopathie prend en compte tout le corps, rien n’est dissocié. Ainsi, pour agir sur la décongestion viscérale qui peut être facteur de troubles aux intestins et de douleurs de l’utérus, on manipule aussi bien le crâne, que la colonne vertébrale et les membres inférieurs. On n’oublie pas l’importance du sacrum, qui peut être « gelé » c’est-à-dire bloqué émotionnellement. Dans ce cas, il ne va pas pouvoir entamer une bonne récupération en douceur.
Faire des exercices contre la douleur après une césarienne
Dès votre séjour à la maternité, vous pouvez agir en douceur sur les zones douloureuses. On ne parle pas ici de reprendre le sport après la césarienne, ce qui vous causerait bien plus de douleurs. D’après John Andreu, ostéopathe*, la base de tout c’est la respiration. Voici un exercice simple pour diminuer les tensions :
La respiration pour ouvrir le diaphragme et toute la région abdominale. Il suffit alors de prendre une profonde respiration par le ventre pendant 5 secondes. Puis, vous bloquez durant 10 secondes pour ensuite souffler doucement sur 10 secondes. Déjà, vous vous sentirez mieux et évacuerez les zones de tensions.
Selon notre expert, un autre exercice tout aussi simple agit en profondeur en étirant la colonne vertébrale et en décrispant le bassin :
Assise sur votre lit, mains sous les genoux, il vous suffit de rapprocher votre menton vers votre poitrine en faisant le dos rond. Puis, lentement, tournez votre menton vers chaque épaule.
Le petit conseil qui change tout : ne sollicitez jamais vos abdominaux pour vous relever les premiers temps, vous aurez trop mal ! Roulez d’abord sur un côté et levez votre buste de côté, en vous aidant du bras si besoin. Une fois que vous vous retrouvez en position assise au bord du lit, baissez d’abord votre buste vers vos genoux et soulevez vos fesses pour les décoller du lit. Seulement après, redressez-vous pour être à la verticale. N’oubliez pas de mettre une chaise ou un appui à côté de vous pour vous aider à déambuler.
Attention ! Videz régulièrement votre vessie. Pleine, elle tire sur les tissus et entraîne des douleurs.
*praticien de l’ostéopathie active (17 rue de la Trémoille 75008 Paris, Tél. : 01 77 19 09 39)
Adopter de bonnes postures pour diminuer les douleurs
C’est très important de maintenir une bonne posture pour limiter les douleurs post césarienne. Lorsque vous êtes assise, tenez-vous bien droite en surélevant vos pieds si possible. L’angle entre votre ventre et vos cuisses doit être inférieur à 90 °C pour plus de confort. Cela évitera de tirer sur la cicatrice. Lorsque vous vous relevez, pensez à vous pencher en avant pour décoller vos fesses avant de vous redresser. Pour sortir du lit, roulez d’abord sur le côté avant de vous mettre debout de la même façon.
La posture va aussi être primordiale si vous voulez allaiter après votre césarienne. Il faudra trouver des positions dans lesquelles vous serez confortable. Généralement, il s’agit de positions allongées ou semi-assise, comme la madone. N’hésitez pas à demander conseil à la maternité, auprès de votre sage-femme ou d’une consultante IBCLC. Ces professionnelles pourront vous guider pour allaiter plus sereinement et sans douleurs.
Le bandage du ventre après une césarienne est aussi une bonne option pour maintenir vos organes, stimuler le transit et donc participer à réduire les douleurs. Vous pouvez vous aider d’une ceinture abdominale, ou encore porter des vêtements ou encore une lingerie spécialisée exerçant une compression sur la zone incisée et le ventre et aidant dans votre récupération.
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J’espère ne pas vous avoir fait trop peur avec toutes mes histoires, mais je trouvais important de vous informer des douleurs possibles après césarienne. C’est une grosse éventualité et s’y préparer permet de mieux y faire face. Encore une fois, n’oubliez pas que la douleur est une question purement personnelle et que chaque cas est différent (tout comme l’est votre accouchement). Et puis le meilleur remède anti-douleur reste de tenir son bébé dans ses bras, le regarder tendrement et se dire : ça vaut quand même le coup de souffrir pour goûter à ce bonheur ! Vous êtes d’accord ?ccord ?
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